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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 18:58

Le week-end suivant le carnaval de Oruro, c'est le corso de corso a CBBA. Moins religieux et moins bien organisé que celui d'Oruro, ça reste un gros événement de la ville. La recette est la même, des danseurs, des fanfares, de la mousse, de l'eau et de la bière. Petit bémol, beaucoup plus de policiers. L'alcool, les bombes à eau et la mousse sont théoriquement interdits dans les gradins.


Soldat en Madagascar 2


Les premiers à défiler sont les soldats de la caserne locale. Ça ressemble plus au carnaval que je connaissait, avec des déguisements artisanaux en rapport avec l'actualité, avec de la musique à la mode. On a eu le droit à Madagascar, Shreck, le dengue (maladie tropicale qui fait des ravages dans les zones orientales du pays). Très marrant, les soldats semblent réellement se défouler et se donnent à fond pour faire crier le public féminin.


Groupe afro-bolivien


Puis ont suivis les mêmes types de groupe qu'à Oruro, diablada, morenada, caporales, tinkus, il y avait aussi un groupe d'afro-boliviens. On était vers la fin du défilé, les gradins étaient plein de jeunes étudiants ou lycéens. Entre deux groupes, les bombes à eau fusaient, un spectateur s'est énervé et cherchait à se battre, ce qui a empiré la chose et il s'est pris encore plus de bombe à eau, c'était encore tôt dans la journée, personne ne voulait que ça se termine mal, les deux cotés scandèrent « sin pelea sin pelea » le bonhomme est retourné à sa place, plus tard, il s'amusera comme les autres, complètement trempé. Une autre différence est qu'il y a très peu de touriste, peu de gens portent des ponchos, le climat aidant, un peu rester mouillé jusqu'à la nuit.


La poopo


La Poopo (super fanfare) est passée en fin de soirée, accompagnant une des formations de la San Simon, c'est un groupe attendu par tout le monde, ils sont très nombreux et ont une solide réputation. Ce sont principalement des étudiants de l'université publique des différentes ville de Bolivie. A minuit, tous les groupes étaient passés. J'ai été dans un bar ou j'ai appris un nouveau jeu de dés. Avec 5 dés et en 3 coups, il faut sortir 1, 2, 3 et le maximum des deux dés restants. Celui qui fait le plus petit résultat boit. Autant de tour que de joueur, chaque joueur donne un lieu et un prénom féminin, ainsi, le perdant boit mais fait l'amour avec Daniela dans la cuisine. Des vrais gosses ces boliviens.

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N
El fin de semana siguiendo el carnaval de Oruro, es el corso de corso a CBBA. Menos religioso y con menos organización que el de Oruro, aun es un evento importante de la ciudad. La formula es igualita, bailarines, bandas, espuma, agua y cerveza. Cambiadito, muchos mas polis (PACO), alcohol, globos de aguas y espuma son prohibidas en teoría en las graderías.<br /> <br /> Los primeros son los soldados del cuartel local. Es mas parecido al carnaval que conocía de Francia, con trajes de actualidad, con musiquita variedad. Pues pasaron los animales de Madagascar, el Shreck, el dengue (enfermedad tropical con quien están peleando por las zonas orientales). Muy divertido, los soldados parecen echar la presión y se dan a tope para hacer gritar las chicas.<br /> <br /> Después siguieron los mismos bailarines que en Oruro, Diablada, Morenada, Caporales, Tinkus, también había un grupo de afro-bolivianos. Estábamos al fin del recorrido, las graderías eran llenas de jóvenes estudiantes o chango del liceo. Entre dos lados, los globitos de agua volaban, un tío se enojo y busco pelea, lo que empero su caso y pues recibió mas globos, aun temprano en el día, nadie quería pelearse, los dos lados entonaron 'sin pelea, sin pelea', el chico volvió a sentarse, mas tarde ya se estará divirtiendo como todos, empapado. Una otra diferencia es que hay muy pocos turistas, poca gente tiene poncho, el clima ayudando, uno puede quedarse mojado hasta la puesta del sol.<br /> <br /> La Poopo (banda que me encanta) paso en fin de la tarde, acompañando una de las formaciones de la San Simon, un grupo esperado por todos. Son muuuuchos y tienen una reputación solida. Son por la mayoría estudiantes de las universidades publicas de diversas ciudades bolivianas. A media noche, todos ya habían pasado. Me fue en un bar donde aprendí un nuevo juego de dados. Con cinco dados, en tres golpes, se tiene que sacar 1, 2, 3 y el máximo de los dos otros. El que hace el resultado mas pequeño bebe. Tantos turnos como jugadores, cada uno da un lugar y un nombre feminino, pues el que pierde bebe pero hace el amor con Daniela en la cocina. Unos niñitos esos bolivianos.
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