Samedi 1 septembre, Vilcabamba :
Je suis en Equateur, après une traversée assez laborieuse de la frontière, changeant 5 fois de colectivo/bus/mototaxi/ranchera dans le désordre, depuis Chachapoyas et en dormant une nuit à San Ignacio.
Trajet
Vilcabamba, qui signifie vallée sacrée en Quechua, est connu pour l’arbre huilcos et pour avoir un indice de population de personnes âgées élevé. C’est un village très apprécié par les étrangers et on rencontre beaucoup de gringos venus de passage ou s’installant pour leur retraite dans ce climat très agréable. On dit que c’est un des endroits qui sera épargné par la « fin » du monde de 2012. Ambiance assez roots et babacool donc.
Sur la route de la cascade
Dans l’après midi, je fais une petite balade le long d’une rivière pour tenter d’aller voir une cascade. Après 1h30 de marche, j’aperçois une cascade, mais de l’autre coté de la rivière, j’essayerai en vain de l’atteindre, en traversant des ronces et des bois à moitié décimés. Tant pis, je me contenterai de la vue de loin. Je rentre au village fatigué et piqué par les fourmis et les épines.
La cascade (en petit entre les arbres)
Dimanche 2 septembre, Vilcabamba :
Balade en vélo, qui passe par derrière la montagne fait le tour dans la vallée voisine. L’occasion de faire un peu de sport et de bronzer (ou cramer). Ça m’a donné l’envie de faire un peu plus de vélo et une résolution, acheter un vélo en rentrant et peut-être refaire des balades un peu plus longue.
Le paysage de la balade, entre sec et vert